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Après vous avoir présenté les tournois en -61 et en -120, nous nous attaquons aujourd'hui à deux nouvelles catégories. Mais en visualisant la page officielle du gala, surprise, ils ne sont plus que deux dans chacun!
Les contenders auraient-ils moins de succès qu’auparavant ? La date placée au beau milieu des vacances scolaires (notamment parisiennes) est-elle un frein ? Certains noms présents dans les tournois incitent-ils les combattants à ne pas s’aligner ? Les blessures tardives sont légion? On peut trouver plein de raisons au manque malheureux de combattants dans deux des quatre tournois proposés. Car au jour d’aujourd’hui, il semblerait que certains candidats manquent à l’appel et laissent un peu le gala dans l'embarras (13 combats quand-même si rien ne bouge). Nul doute que si de nouveaux postulants, à jour de leurs papiers fédéraux, se présentaient, l’organisation validerait leur participation.
Si la catégorie des moins de 93 kilos est souvent peu fournie, il n’en est pas de même pour celles des poids légers. Pourtant, celle-ci ne compterait, aujourd’hui, plus que deux postulants à la ceinture. Autant dire qu’ils vont se livrer, vraisemblablement, à un combat direct pour la ceinture.
Regardons un peu les forces en présence. D’un côté Majdeddine Ayadi (8/2 – 14ème), transfuge de la FFA, arrivé à la Atch Academy en début de saison. Auréolé de 10 combats professionnels, Ayadi compte quelques solides noms à son tableau de chasse (Perruchet et Gerihanov notamment) et deux incursions en MMA européen. Face à lui, Alexandre Busquets (0/1), du Kabuto Fight Club, dont la seule sortie est un rendez-vous au KOC Angoulême face à Hovik Zakarian, combattant très capé. Ce n’est donc pas l’ardeur de la tâche qui effraie Busquets. Tant mieux, car face à lui, il y a du niveau.
Même refrain chez les lourds-légers puisque survivent à l’appel du tournoi seulement deux gaillards. Le premier, on le connait bien, il s’agit de Yann Kouadja (3/4 – 18ème), formé au Parabellum, représentant désormais Atch Academy lui aussi. Le bonhomme avait impressionné tout le monde lors de ses premières sorties, avec une puissance de frappe assomante, avant de céder face aux ténors de sa catégorie (El Anwar, Koné, Edmund, Monin). Contre lui cette fois-ci, seul Anthony Poli se maintient. Découvert lors du dernier Road to Contenders (en lourds), le jeune homme, représentant le Fight Club Shadows, aura fort à faire mais la compétition livre parfois ses surprises. Qui sait, peut-être aurons-nous aussi de nouveaux postulants d’ici-là?
Retrouvez les tournois heavyweight et bantamweight
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